Un bon mariage est con­stru­it sur des sac­ri­fices mutuels. Pour obtenir Ève, Adam a dû sac­ri­fi­er une par­tie de son corps : une côte. Votre femme saura que vous l’aimez si vous êtes prêt à lâch­er ce qui est impor­tant pour vous afin de répon­dre à ses besoins et faire son bien-être. Trop d’hommes veu­lent se mari­er et garder leurs réflex­es de céli­bataires. Ils ne veu­lent rien sac­ri­fi­er au béné­fice de leur épouse. Ils ne veu­lent pas une femme, ils veu­lent une bonne à tout faire. Ils veu­lent se mari­er pour être servis. Non, c’est l’in­verse ! La Bible dit que vous et votre femme êtes cohéri­tiers. Ça veut dire que vous êtes parte­naires égaux. Il faut donc tenir compte de ses opin­ions. Bien sûr, comme chef de famille, vous pren­drez peut-être la déci­sion finale, mais si vous oubliez son avis et nég­ligez son point de vue, la « lune de miel » peut vite se chang­er en « lune de fiel ». Si elle se sent choyée et val­orisée, votre épouse répon­dra à vos attentes. Vous dites : « Mais ma femme est froide comme la glace ! » Com­ment en est-elle arrivée là ? La glace ne tient que dans un milieu froid. Au lieu de vous plain­dre, appliquez-vous donc à chang­er votre envi­ron­nement. Les maris sont des ther­mostats et les femmes des ther­momètres. En fonc­tion du cli­mat que les maris déter­mi­nent, les femmes s’é­panouis­sent ou s’é­ti­o­lent. Votre femme n’est pas « froide » sans rai­son. Il y a une solu­tion : Réchauf­fez-la et regardez-la fon­dre ! Si vous com­mencez à l’aimer, la soutenir, la choy­er et la pro­téger comme Christ l’a fait pour l’Église, vous aurez dans vos bras une toute nou­velle femme. Essayez et vous verrez.