Paul écrit : « Je veux cepen­dant que vous le sachiez : Christ est le chef de tout homme, l’homme est le chef de la femme, et Dieu est le chef de Christ ». Dieu opère dans l’or­dre. Tout comme Christ est soumis à Dieu, les hommes sont cen­sés être soumis à Christ, et les femmes sont sup­posées soumis­es à leur dévot mari. Notez bien, l’homme est le chef de la femme, pas de toutes les femmes. Ce con­trat ne s’applique pas au tra­vail ou dans d’autres rela­tions. Lorsque nous man­quons d’honor­er l’institution de Dieu, Satan peut entrez chez nous tout comme il est entré dans le jardin d’É­den. De nos jours, « soumis­sion » est devenu un mot impop­u­laire. Mais pris dans une per­spec­tive biblique, nous y voyons une force pos­i­tive pour accom­plir le bien, non une force néga­tive pour asservir les femmes. Le mot  vient du grec « hupotas­so », qui sig­ni­fie se plac­er volon­taire­ment sous l’au­torité d’un autre. Il n’im­plique aucune con­trainte, mais une volon­té de vous pren­dre comme Dieu vous a fait(e), et de vous soumet­tre à l’au­torité d’un autre. Pour le mari, c’est à Dieu, et pour la femme, à Dieu et à son mari. Paul écrit : « Maris, aimez cha­cun votre femme, comme le Christ a aimé l’Église et s’est livré lui-même pour elle » (Ep 5.25). Lorsqu’un mari aime ain­si sa femme et se livre lui-même pour elle, elle ne pour­ra qu’être ravie de se soumet­tre à son lead­er­ship à la mai­son. Grâce à l’amour et la pro­tec­tion de son mari, elle va réalis­er la pléni­tude du poten­tiel que Dieu lui réserve.