Fréquenter l’église, faire de votre mieux et suiv­re de vagues pré­ceptes bibliques, tout cela ne vous mèn­era pas au ciel. Voici le témoignage de ceux qui y sont déjà : « À celui qui nous aime, qui nous a délivrés de nos péchés par son sang, et qui a fait de nous un roy­aume, des sac­ri­fi­ca­teurs pour Dieu son Père, à lui la gloire et le pou­voir aux siè­cles des siè­cles ! »  (Ap 1.5–6). Une his­toire édi­fi­ante se cache der­rière une corde cassée exposée au musée du Cervin à Zer­matt en Suisse. Des alpin­istes ayant gravi le Cervin s’en étaient servi pour s’en­corder dans la descente. Mais l’un d’eux avait glis­sé et entraîné trois com­pagnons avec lui dans le précipice. Les autres mem­bres de l’équipe s’é­taient cram­pon­nés à la corde dans l’e­spoir d’ar­rêter leur chute. Mais hélas, sous le choc et devant leurs yeux hor­ri­fiés, la corde avait cassé, les entraî­nant à la mort. Pourquoi cette corde ordi­naire ? Ils devaient pour­tant savoir qu’une vraie corde d’alpin­iste se recon­naît au lis­eré rouge qui la par­court. Voilà une bonne leçon. De la Genèse à l’Apoc­a­lypse, la Bible est tra­ver­sée par un fil rouge qui représente la seule chose qui peut vous sauver : le sang de Jésus. Les croy­ants de l’An­cien Tes­ta­ment avaient la croix en ligne de mire, ceux du Nou­veau Tes­ta­ment la voy­aient dans le rétro­viseur. Si vous croyez en l’œuvre accom­plie du Christ, vous êtes accepté(e) par Dieu, et un jour la porte du ciel s’ou­vri­ra devant vous pour que vous viviez l’é­ter­nité avec lui. Et tout se base sur cette vérité : « Le sang de Jésus […], nous puri­fie de tout péché ». Rien de plus et rien de moins ne vous fera pass­er la porte !