"Récemment j'ai dû accompagner mon papa en fin de vie. Jour après jour, la lecture de Parole du Jour m'a apporté un grand réconfort et m'a permis de tenir bon à travers l'épreuve." Karine Je fais un don

Ne sup­posez jamais que vos instruc­tions sont claire­ment com­pris­es et seront suiv­ies. La Bible dit : « Des mains actives pro­curent la richesse », et le mot « actives » sig­ni­fie qui pren­nent soin des détails. Véri­fiez que celui ou celle qui a reçu(e) vos instruc­tions les a bien notées. Sinon, vous devriez vous inquiéter. Les igno­rants et les dilet­tantes ont ten­dance à faire con­fi­ance à leur mémoire pour tout, mais le plus court des crayons vaut encore mieux que la plus longue des mémoires. Lorsque quelqu’un con­sid­ère que ce que vous dites n’est pas assez impor­tant pour le not­er, il vous envoie un sig­nal négatif. Même si l’intention est là, dans l’ac­tion ou l’ex­cès de con­fi­ance, vos instruc­tions peu­vent facile­ment s’ou­bli­er. Les gens qui vont au bout de leurs idées posent tou­jours des ques­tions sup­plé­men­taires sur ce que vous leur con­fiez. Si vous leur deman­dez, par exem­ple, d’ap­pel­er quelqu’un, ils vous deman­dent à leur tour : 1) Est-ce urgent ? 2) Quand veux-tu con­naître leur réponse ? 3) Y a‑t-il autre chose que je devrais savoir avant d’appeler ? Si ce genre de ques­tions ne fuse pas, il y a des chances que la per­son­ne ne soit pas entière­ment impliquée. Lorsqu’une per­son­ne vous dit : « Je vais essay­er de le faire », voilà un autre sig­nal d’alerte, parce que la plu­part du temps elle ne le fait pas. Le mot « essay­er » révèle sou­vent un manque d’en­t­hou­si­asme. Ne don­nez vos instruc­tions qu’à une per­son­ne à la fois. Soyez pré­cis dans vos deman­des. En clair, ne don­nez des instruc­tions qu’aux gens qual­i­fiés pour les suivre.

Parole du Jour me nourrit et facilite ma méditation quotidienne. Je l'amène avec moi partout même pendant mes vacances ou quand je suis hospitalisée, et je la propose à ceux qui la veulent." Patricia Je fais un don