Cer­tains pensent que Dieu s’op­pose à ce que nous soyons rich­es. Mais la Bible dit : « Il aug­mentera les fruits de votre jus­tice. Vous serez de la sorte enrichis à tous égards en vue de toute espèce de libéral­ité qui, par notre moyen, aura pour résul­tat des actions de grâces envers Dieu » (v.10–11). Vous voulez un bon con­seil ? Impliquez Dieu dans vos finances et gardez-le con­cerné ! C’est un domaine dans lequel vous pou­vez avoir une vraie rela­tion avec lui, mais vous devez l’y inviter. Pensez‑y. Per­son­ne n’a jamais prié : « Seigneur, toutes ces années je n’ai pas comp­té sur toi et j’ai suivi ma pro­pre voie. Résul­tat, je suis un peu à sec. Mais je crois encore que mon plan peut marcher, je vais m’en sor­tir tout seul. Tu peux aller aider quelqu’un d’autre ! » Non, quand on n’a plus un sou, on se tourne vers Dieu et on tente de le per­suad­er de nous porter sec­ours. Notre prière se trans­forme en S.O.S. « À l’aide, Seigneur ! S’il te plaît, fais quelque chose ! N’im­porte quoi ! » Nous arrivons au point où nous sommes prêts à recon­naître que c’est lui qui con­trôle tout. On n’hésite plus à lui deman­der ce dont nous l’avons tou­jours su capa­ble : trans­fér­er une somme d’argent ou alléger une pres­sion finan­cière. Alors, qu’est-ce qui vous empêche de deman­der à Dieu de s’impliquer main­tenant, avant que les réserves ne fondent ? Ne voyez-vous pas l’intérêt d’une inter­ven­tion directe de sa part le plus tôt et le plus sou­vent possible ?