À qui faites-vous con­fi­ance pour résoudre vos prob­lèmes ? À Dieu ou à vous-même ? Avant de répon­dre, lisez ceci : « Toi, Seigneur, tu le gardes en paix, car il te fait con­fi­ance. […] Seigneur, tu indiques au fidèle un chemin qui va tout droit ; la voie que tu lui traces est sans aucun détour » (v.3, 7). Quelle belle promesse ! Si vous voulez garder l’esprit en paix, adoptez ce principe : « Faire de son mieux, et con­fi­er le reste à Dieu ! » Nous sommes quelques-uns à avoir appris qu’il était mal de se réjouir lorsque les dif­fi­cultés survi­en­nent. On nous a con­di­tion­nés à penser qu’en dés­espoir de cause, il con­ve­nait au moins de s’inquiéter et d’être mal­heureux. Paul affirme ceci : « Ne vous lais­sez effray­er en rien par vos adver­saires : ce sera pour eux le signe qu’ils vont à leur perte et que vous êtes sur la voie du salut ; et cela vient de Dieu » (Ph 1.28, BFC). Satan ne sait plus quoi faire lorsqu’il n’arrive pas à vous met­tre hors de vous. Vous le privez d’une arme puis­sante. En accor­dant une totale con­fi­ance à Dieu, vous ne dépen­drez plus des cir­con­stances ni des autres ni de vos pro­pres lim­ites. Un ani­ma­teur radio a dit un jour avec mal­ice : « Par les temps qui courent, il est bon de savoir que des temps pareils ont tou­jours cou­ru ! » La ques­tion n’est pas : « La crise vien­dra-t-elle ? » C’est : « Com­ment allez-vous la gér­er ? » La Bible dit : « Pour nous qui avons cru, nous entrons dans le repos » (Hé 4.3). Lorsque les choses tour­nent mal, ne suiv­ez pas leur exem­ple. Suiv­ez la voie que Dieu vous indique, appuyez-vous sur sa Parole, puis faites-lui pleine­ment con­fi­ance et lais­sez-le agir à votre place.