Par­ents, comptez sur cette promesse : « Je vais répan­dre mon Esprit sur tes enfants et ma béné­dic­tion sur tes descen­dants ». Vos enfants sauront pren­dre la relève quand vous dis­paraîtrez ! Votre pla­fond sera leur planch­er. Ils ne fer­ont pas que suiv­re vos traces, ils se servi­ront de vos fon­da­tions pour bâtir quelque chose de plus grand. Ce n’est pas parce que tout va bien qu’il ne faut pas remet­tre en cause vos principes. Pour dépass­er vos bar­rières men­tales, cessez de dire : « Je suis comme je suis », ou : « On n’est pas très ambitieux dans ma famille, alors moi non plus. » En dis­ant cela, vous con­tre­dis­ez Dieu ! Lorsque Dieu a délivré les Israélites de l’esclavage, ils sont par­tis vers la Terre Promise. Le voy­age ne devait dur­er qu’une dizaine de jours, mais il a fini par dur­er 40 ans. Qu’est-il arrivé ? À force de tou­jours se plain­dre, ils n’ont fait que tourn­er en rond dans le désert. Pourquoi ? Parce qu’après qua­tre siè­cles d’esclavage, ils pen­saient et agis­saient comme des esclaves ! Ils ne pou­vaient pas saisir la promesse de Dieu. Il a fini par leur dire : « Vous avez assez con­tourné cette mon­tagne. Tournez-vous vers le nord [et emparez-vous du pays que l’Éter­nel a promis de don­ner à vos enfants] » (De 2.3). Si votre passé a été un échec, tracez une ligne dans le sable aujour­d’hui, et déclarez : « Trop c’est trop. Je vais faire con­fi­ance à Dieu pour des choses plus grandes et meilleures ! » C’est dans ces moments-là que changent les des­tinées. En clair, les déci­sions que vous prenez aujour­d’hui n’af­fecteront pas que vous, mais aus­si vos enfants. Alors deman­dez à Dieu de vous aider à pren­dre les bonnes.