Quel espoir et quel sec­ours pour les athées et les agnos­tiques ? Aucun ! Un édi­to­ri­al­iste améri­cain a écrit dans un mag­a­zine : « J’aimerais vous présen­ter le plus mal­heureux et le plus seul des indi­vidus sur terre…l’homme qui ne croit pas en Dieu. Je peux le faire parce que moi-même je suis l’un d’eux, et en me présen­tant à vous, je vous donne l’occasion de ren­con­tr­er l’ag­nos­tique et le scep­tique de votre quarti­er, car il est présent partout. Vous serez sur­pris de savoir que l’ag­nos­tique envie votre foi en Dieu, votre ferme con­vic­tion d’une vie éter­nelle après la mort, et l’as­sur­ance que vous retrou­verez vos bien-aimés dans un au-delà où il n’y aura plus ni cha­grin ni douleur. Il don­nerait tout pour être capa­ble d’embrasser cette foi et d’être con­forté par elle, mais pour lui il n’y a que la tombe et la per­ma­nence de la matière. Tout ce qu’il voit après la mort est la dés­in­té­gra­tion du corps et de l’e­sprit, mais dans cette vision matéri­al­iste, il ne trou­ve ni extase ni bonheur…Il peut faire bonne fig­ure mais il n’est pas heureux…Parfois il ferait tout pour trou­ver un sou­tien. Lui aus­si porte une croix. Pour lui, cette terre n’est qu’un minable radeau à la dérive sur les eaux insond­ables de l’é­ter­nité où rien ne pointe à l’hori­zon. « Nos­tal­gique de chaque moment pré­cieux de la vie, son cœur souf­fre sur ce radeau qui dérive, dérive, dérive, nul ne sait où ». Mais lorsque vous met­tez votre con­fi­ance en Christ, vous pou­vez dire avec assur­ance : « L’Éter­nel est ma lumière et mon salut : de qui aurais-je crainte ? »