La Bible dit que votre corps céleste sera en tout point iden­tique à celui de Jésus après sa résur­rec­tion. Il n’avait pas changé, parce que les dis­ci­ples pou­vaient le recon­naître. Il mangeait et buvait avec eux. On pou­vait le touch­er. Il pou­vait mirac­uleuse­ment pass­er à tra­vers les murs. À pro­pos de voy­age tem­porel, il pou­vait appa­raître à divers endroits à des gens dif­férents sans aucun moyen de trans­port recon­nu. Son corps trans­for­mé ne vieil­lis­sait plus, il n’é­tait plus soumis à la mal­adie et à la mort. Votre nou­veau corps sera comme le sien. « Christ comme prémices, puis ceux qui appar­ti­en­nent au Christ, lors de son avène­ment. Ensuite vien­dra la fin » (1Co 15.23–24). En 1684, pré­sumé impliqué dans un com­plot visant à assas­sin­er le roi Charles II, le pres­bytérien écos­sais Robert Bail­lie apprend qu’il va être pen­du, puis écartelé, et que sa tête et ses mains vont être cloués sur un pont de la ville. Com­ment réag­it-il ? En citant d’abord ces ver­sets : « Nous sommes citoyens des cieux, d’où nous atten­dons que vienne notre Sauveur, le Seigneur Jésus-Christ. Il trans­formera notre mis­érable corps mor­tel pour le ren­dre sem­blable à son corps glo­rieux » (Ph 3.20–21, BFC). Puis il déclare : « Ils peu­vent dépecer mon corps à leur guise, mais je sais avec assur­ance que rien ne sera per­du, que tous mes mem­bres seront mer­veilleuse­ment rassem­blés en un corps glo­rieux sem­blable à Christ. » En réal­ité, que votre corps soit enter­ré dans un cer­cueil ou que vos cen­dres soient dis­per­sées, ça ne fait aucune dif­férence. Dieu vous a réservé un corps glo­rieux sem­blable à Christ.