Le passé ne doit pas nous priver de l’avenir ! Cette année, Dieu nous donne un nouveau départ. On a tous des relations difficiles, et des problèmes qui ne seront jamais résolus comme on le voudrait. Mais par la grâce de Dieu, on peut pardonner, oublier et aller de l’avant. Pourquoi passer des nuits blanches à sortir des squelettes du placard, à rouvrir des cicatrices et à raviver des souvenirs douloureux ? Si on leur ouvre la porte, les fantômes du passé reviendront nous hanter. Vous dites : « Mais j’ai encore tant de difficultés ! » Comme tout le monde. Même l’apôtre Paul avait ses limites. Il n’a pas condamné chez les autres ce qui le tourmentait lui-même, car il dit : « Ce n’est pas moi qui agis ainsi, c’est le péché qui habite en moi. Le désir de faire le bien existe, mais non la capacité de l’accomplir. Je ne fais pas le bien que je veux et je fais le mal que je ne veux pas » (Ro 7.17–19, BFC). Devenir chrétien ne signifie pas que le combat cesse ! Paul va même plus loin, en ajoutant deux choses. 1) « Afin que, comme Christ est ressuscité d’entre les morts, nous aussi nous marchions en nouveauté de vie » (Ro 6.4). 2) « Ainsi, considérez-vous comme morts au péché et vivants pour Dieu en Christ-Jésus » (v.11). Vous dites : « Mais comment gérer mes anciens problèmes ? » Il faut les reconnaître, les abandonner et les oublier ! Au lieu de vous battre contre des moulins, laissez la puissance de la résurrection de Christ transformer votre existence et vous délivrer des douleurs passées !