Si vous aviez plus d’argent ou plus de succès, seriez-vous plus heureux ? Le grand tennisman Boris Becker a dit : « J’avais déjà gagné Wimbledon deux fois, la première en tant que plus jeune joueur. J’étais riche. J’avais tout le confort matériel dont j’avais besoin, et pourtant… C’est la vieille rengaine des stars qui se suicident. On a tout, et pourtant on est malheureux. Pour ma part, je n’avais aucune paix intérieure. » Salomon fait le même constat : « J’ai vu tous les ouvrages qui se font sous le soleil ; voici que tout est vanité et poursuite du vent. » Salomon a essayé la religion, l’éducation, l’argent, les projets de travaux, la célébrité, l’écriture et les plaisirs de la chair : « Je n’ai refusé aucune joie à mon cœur ; car mon cœur se réjouissait de tout mon travail […]. Puis, j’ai envisagé tous les ouvrages que mes mains avaient faits, et la peine que j’avais prise à les faire ; et voici que tout est vanité et poursuite du vent » (Ec 2.10–11). Dans le dernier chapitre, Salomon trouve enfin ce qu’il cherche : « Respecte Dieu et obéis à ses commandements. Oui, voilà ce que tous les êtres humains doivent faire » (Ec 12.3, PDV). Salomon découvre que la vie ne se construit pas sur les biens matériels mais sur les relations. Et la première que vous devez avoir est une relation avec Dieu. Vous dites : « Comment puis-je trouver Dieu ? » À travers Christ ! Jésus a dit : « Je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi » (Jn 14.6). Aujourd’hui, vous pouvez avoir avec Dieu une relation qui changera votre vie si vous mettez votre confiance en Jésus-Christ.
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