Libérer sa force intérieure

Le moteur d’une voiture n’est act­if et effi­cace que si on le met en marche. C’est alors seule­ment qu’il nous mène là où l’on doit aller. Dans le même ordre d’idées, si on cherche à obtenir l’onction du Saint-Esprit, on risque de la réduire à une « expéri­ence », au lieu de « l’activer » afin d’accomplir de grandes choses pour Dieu. Dans le Nou­veau Tes­ta­ment, quand quelqu’un est rem­pli du Saint-Esprit, des choses se passent. Les gens se tour­nent vers Christ. On assiste à des guérisons. On brûle même des livres sur la place publique (voir Ac 19.19). La fête ne se can­tonne pas à l’église, elle vient dans la rue ! Dans la Bible, Dieu se présente d’abord comme un créa­teur. Il nous crée à son image, nous insuf­fle la vie, puis nous demande d’aller et d’être féconds (voir Ge 1.28). Si on prie pour que quelqu’un vienne tout régler à notre place, on perd son temps. Per­son­ne n’est spec­ta­teur impuis­sant de sa vie. Ce que Dieu a placé en nous chang­era notre image, à con­di­tion de le met­tre en œuvre ! La force intérieure est plus grande que les prob­lèmes que l’on a tra­ver­sés, la sit­u­a­tion dans laque­lle on se trou­ve ou les obsta­cles qui se dressent sur notre chemin. Quand tout autour de vous dit non et que quelque chose en vous dit oui, « C’est Dieu qui opère en vous le vouloir et le faire selon son des­sein ». Occu­pez-vous du « vouloir », Dieu se charge du « pou­voir ». Si vous syn­chro­nisez ces deux élé­ments, votre vie changera.