Parole du Jour

En cas d’attaque (1)

C’est au début d’une agres­sion que l’on fait les plus grandes erreurs, car on est pris au dépourvu. La sur­prise est l’une des armes préférées du dia­ble, alors voici qua­tre atouts à utilis­er en cas d’attaque. 1) Ne pas pani­quer. Suiv­re les pro­pos du Psalmiste : « Arrêtez, et recon­nais­sez que je suis Dieu » (Ps 46.11). Ça veut dire que Dieu est là, pleine­ment con­scient du prob­lème, et qu’il a la solu­tion. Il suf­fit d’être sen­si­ble et réac­t­if à la voix du Saint-Esprit (voir Jn 16.13). Ne pas oubli­er que le temps est un allié. La patience est une arme qui fait remon­ter à la sur­face la vérité et les moti­va­tions. 2) Analyser la sit­u­a­tion. Salomon a dit : « Lorsque tout va bien, soyons heureux ; lorsque tout va mal, réfléchissons » (Ec 7.14, BFC). Par­fois, ce qui ressem­ble à une crise n’est qu’un trop plein d’in­for­ma­tions. En prenant le temps de l’analyser, on en retire du prof­it. 3) Deman­der con­seil. Salomon affirme : « Un peu­ple périt quand il n’est pas dirigé ; un grand nom­bre de con­seillers assure la vic­toire » (Pr 11.14, BFC). L’ignorance est une enne­mie, la con­nais­sance une alliée. Quelqu’un quelque part sait ce qu’il est vital de savoir pour sur­vivre et sur­mon­ter un chapitre douloureux. Il faut juste chercher. 4) S’attendre à ce que Dieu agisse. La Bible dit : « Quand l’ad­ver­saire vien­dra comme un fleuve, l’E­sprit de l’Éter­nel le met­tra en fuite ». L’En­ne­mi attaque sou­vent quand je pro­gresse. Je peux me réjouir de ce que Dieu me regarde aujour­d’hui. Il est sat­is­fait de moi, et il va me faire tra­vers­er cette épreuve.

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