Êtes-vous anxieux à l’idée de prendre de l’âge ? Dans ce cas, il est temps de revoir votre système de valeur. Pour Dieu, le contenu est plus important que l’emballage. Et pour faire la paix avec vos rides, vous devez vous mettre en accord avec lui. En fin de compte, ce n’est pas le nombre de jours de votre vie qui compte, mais leur qualité. Le premier miracle de Jésus a été de changer l’eau en vin. Notez ce que l’hôte de la réception de mariage a dit : « Tout le monde commence par offrir le meilleur vin […]. Mais toi, tu as gardé le meilleur vin jusqu’à maintenant » (Jn 2.10, BFC). Et ça peut aussi être l’histoire de votre vie. Vous n’avez pas à souffrir de gérontophobie et avoir peur de vieillir. Continuez à vous battre, à grandir, à aller de l’avant. Écoutez les propos de Caleb, tenus alors qu’il était déjà bien âgé : « Je suivis pleinement la voie de l’Éternel, mon Dieu. Et ce jour-là Moïse fit ce serment : assurément, le pays que ton pied a foulé sera ton héritage et celui de tes fils à perpétuité […] Maintenant voici que l’Éternel m’a fait vivre, comme il l’a dit. Il y a quarante-cinq ans que l’Éternel parlait ainsi à Moïse, lorsqu’Israël marchait dans le désert […]. Me voici aujourd’hui, âgé de quatre-vingt-cinq ans. Je suis encore vigoureux comme au jour où Moïse m’envoya […]. Donne-moi donc cette montagne dont l’Éternel a parlé […]. Josué bénit Caleb […] et il lui donna Hébron pour héritage » (Jos 14.8–13). Voilà ce que l’on peut appeler « la grâce de vieillir ».