Un pasteur décrit certaines tempêtes de la vie : « Vous rentrez du travail, et vous découvrez cette note dans la cuisine : “Je demande le divorce.” Le tonnerre gronde ! Vous allez chez le médecin pour un examen de routine, et les analyses révèlent et vous avez un cancer. Le vent se déchaîne ! Vous vous couchez tranquille, le téléphone sonne à trois heures du matin pour vous apprendre que votre père est décédé subitement d’une crise cardiaque. Le naufrage est imminent ! La seule chose dont on est sûr : les tempêtes de la vie sont imprévisibles. Elles arrivent quand on s’y attend le moins. » Jésus a dit à ses disciples : « Passons sur l’autre rive » (v.35). Ils auraient dû comprendre que lorsqu’il montait à bord du bateau, celui-ci devenait insubmersible. Ses paroles contenaient la promesse d’une arrivée saine et sauve. Il existe une différence entre entendre une promesse et y croire. Trop souvent, on ne croit pas que Jésus accomplira ce qu’il a promis. Le pasteur nous encourage : « Dans ces moments-là, je dois me souvenir que le soleil peut cesser de briller, le vent se lever et les vagues déferler, mais Jésus ne manque jamais de tenir ses promesses et il veut constamment me le rappeler. Je n’ai pas besoin d’avoir peur quand il est proche. Il veut être le capitaine du navire de ma vie. Vous n’êtes peut-être pas toujours conscient(e) de Jésus, mais il est tout de même là. Pour ses disciples, l’endroit le plus sûr au monde était juste là, dans ce bateau. La sécurité n’est pas l’absence de problèmes, c’est la présence de Jésus.