Le roi Josaphat avait appris qu’il allait être attaqué par trois armées différentes ! Quel stress ! Sa réaction peut néanmoins servir d’exemple quand la vie nous dépasse (voir 2Ch 20). Commençons par la première lettre du mot STRESS, S comme « savoir » rechercher la direction de Dieu : « Josaphat décida de consulter l’Éternel » (v.3). Autrefois, quand son père, le roi Asa, avait été confronté à une menace similaire, il avait pillé les richesses du Temple et de son propre palais pour amadouer l’un des envahisseurs, afin qu’il l’épargne. Ça avait marché sur le court terme, mais Dieu n’a pas accepté qu’Asa s’en soit remis à un autre que lui pour vaincre ses ennemis (voir 2Ch 16.1–9). Par conséquent, le roi sera puni pour le restant de son règne : « Tu as agi en insensé dans cette affaire, car dès à présent tu auras des guerres » (v.9). Il vivra ainsi avec le stress du conflit permanent, car il n’avait pas d’abord cherché le conseil de Dieu. Josaphat, son fils, ne voulait pas reproduire cette erreur. Et moi ? Suis-je envahi par le stress à force de chercher seul une solution, au lieu de découvrir comment Dieu veut que je traite le problème ? Quelle est la dernière situation délicate à laquelle j’ai été confronté : Ai-je fait confiance aux opinions des autres, ou à mes propres idées, ou ai-je d’abord cherché le conseil de Dieu ? Dieu le promet : « Vous me chercherez et vous me trouverez, car vous me chercherez de tout votre cœur » (Jér 29.13). Alors parlez-en à Dieu !