Connaissez-vous le jeu de la queue de l’âne ? Pour gagner, il faut avoir un sacré coup de chance ! Et pour bien des enfants de Dieu, déterminer sa volonté et son but n’est pas si différent. Pourtant, il n’y a pas de fatalité. Voici deux étapes nécessaires pour éviter de s’en remettre au hasard. 1) Obéir à la volonté de Dieu. Il est impossible de comprendre sa volonté tant qu’on ne s’engage pas sans réserve. Maintenir sa propre volonté rend aveugle à la sienne. Pas besoin d’une carte détaillée : c’est l’itinéraire de la foi. Je dois croire que Dieu m’aime et qu’il veut le meilleur pour moi. Je sais qu’en me soumettant à lui, je discernerai « quelle est la volonté de Dieu : ce qui est bon, agréable et parfait » (Ro 12.2). 2) Écouter la voix du berger et lui faire confiance. Jésus me permettra toujours de comprendre sa volonté pour ma vie. Il est mon bon berger, et ses « brebis entendent sa voix ; il les mène, il marche devant elles ; et les brebis le suivent, parce qu’elles connaissent sa voix » (Jn 10.3–4). Remarquez la phrase « elles connaissent sa voix ». Avec le temps et l’expérience, j’apprends à savoir quand Dieu me parle. Tel Abraham, qui s’est soumis à la volonté de Dieu sans savoir où il serait conduit, je dois abandonner ma propre volonté sans savoir où Dieu me mènera. Dieu promet de donner la sagesse à ceux qui en manquent, non aux personnes spirituellement avancées (voir Ja 1.5–6). Croyez donc que la sagesse de Dieu vous est réservée !