Si j’ai été un jour maltraité, rejeté ou abandonné, la honte s’installe et je finis par avoir une très mauvaise image de moi. Le diable le sait, alors il attaquera ma confiance en moi chaque fois qu’il pourra trouver une ouverture. Il veut que je me sente en échec, et donc m’obliger à rester dans l’impasse et ne jamais faire ce que je veux vraiment. Il veut m’empêcher d’accomplir le plan de Dieu pour ma vie. S’il peut me faire croire que je suis incapable, alors je ne ferai jamais rien de valable. Et même si j’insiste, ma peur de l’échec scellera ma défaite. Et comme je manque de confiance en moi, je m’y attendais sans doute depuis le début. C’est le « syndrome de l’échec », une sorte de cercle vicieux. On échoue à cause de fausses croyances, et cet échec-même les renforce encore. Il est difficile de savoir ce qui est venu en premier, mais on se retrouve dans un piège dont on ne semble pas pouvoir sortir. Quelle est la réponse ? En tant qu’enfant racheté de Dieu, la Bible dit que je suis « en Christ ». Jésus a vaincu Satan et a triomphé de lui à la croix. Et parce que je suis « en Christ », sa victoire est ma victoire. Je peux sortir du syndrome de l’échec et me mettre à réussir dans la vie. Paul l’affirme : « Dans toutes ces choses, nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés ». Notez les mots « dans toutes ces choses ». Peu importe ce qui vous est arrivé dans le passé, Dieu vous réserve un avenir merveilleux.
Se libérer du syndrome de l’échec
