La quan­tité de foi que Dieu vous a accordée dépend de la tâche qu’il vous a assignée. Ain­si, dans l’épreuve, dites-vous que Dieu vous a don­né la foi néces­saire pour réus­sir. Rien n’est plus impor­tant que votre foi. Jésus a dit à Pierre : « Satan vous a réclamés pour vous pass­er au crible comme le blé. Mais j’ai prié pour toi, afin que ta foi ne défaille pas » (Lu 22.31–32). La foi est plus pré­cieuse que l’ar­gent, la réus­site ou la répu­ta­tion. On pour­rait tout vous ôter, avec la foi, vous rebondi­rez. La foi est comme une ligne directe vers Dieu. Lorsque monte la prière de la foi, la puis­sance du Seigneur coule en abon­dance. Vous êtes alors fin prêt(e) pour l’épreuve. L’échec n’est jamais défini­tif tant que la foi sub­siste. C’est pour cette rai­son que Satan fera tout pour vous éloign­er de la lec­ture quo­ti­di­enne des Écri­t­ures : « La foi vient de ce qu’on entend, et ce qu’on entend vient de la parole du Christ » (Ro 10.17). Jésus a dit : « Si vous avez de la foi comme un grain de moutarde, vous direz à cette mon­tagne : Trans­porte-toi d’i­ci là, et elle se trans­portera » (Mt 17.20). Cer­tains obsta­cles de votre vie ne seront fran­chis qu’avec l’aide de la foi. Pas besoin d’en avoir un con­tain­er, une graine suf­fit. Pensez à ce minus­cule grain qui a la force de pouss­er, par-delà les embûch­es, pour devenir un arbre majestueux. Il se fraye un chemin dans la terre autour des rochers, brave les tem­pêtes, résiste aux ani­maux sauvages et autres dan­gers. Ce n’est pas tant la taille de votre foi qui déter­mine votre suc­cès, mais sa qual­ité. Alors aujour­d’hui, servez-vous de votre « mesure de foi ».