Parole du Jour

Tout est possible ! (1)

Voici deux pas­sages essen­tiels : « À Dieu tout est pos­si­ble » (v.26), et : « Il ne fit pas là beau­coup de mir­a­cles, à cause de leur incré­dulité » (Mt 13.58). Ces ver­sets sont lourds de sens : à cause du doute et de l’incrédulité, bien des choses pos­si­bles ne se réalisent jamais. Alors cette année, je vais croire que c’est « pos­si­ble » ! Si la Parole de Dieu garan­tit que je peux réus­sir, mais que j’échoue mal­gré tout, c’est que je n’y crois pas vrai­ment, ou que je ne fais pas ma part. Or, quand la con­fi­ance est là, mon énergie est décu­plée. Qui aime per­dre ? Si je sens qu’une chose est vouée à l’échec, com­bi­en de temps et d’én­ergie suis-je prêt(e) à lui con­sacr­er ? Per­son­ne ne s’in­vestit dans des caus­es dés­espérées. Mais si je pense pou­voir gag­n­er, je me jette à corps per­du dans la bataille. Car lorsqu’on a la foi et qu’on s’appuie sur Dieu en vue du suc­cès, on est bien plus fort. Cer­tains dis­ent que les opti­mistes sont naïfs, mais con­naît-on beau­coup de pes­simistes ayant réus­si ? Com­bi­en de défaitistes ont accom­pli de grandes choses ? Pas un seul ! La pre­mière étape est d’arrêter de se focalis­er sur le négatif. Soit les pes­simistes red­outent le pire et le vivent con­stam­ment, soit ils changent leur façon de penser. Il faut donc élim­in­er les dis­cours rabat-joie, ceux qui pren­nent la tête avant même que l’on ouvre la bouche. La Bible dit : « Les paroles peu­vent être source de vie ou de mort. Qui aime par­ler doit en accepter les con­séquences » (Pr 18.21, BFC). Pour penser « pos­si­ble », il faut croire et par­ler « possible ».

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