Me faut-il parfois mentir ? À moins de vouloir irriter Dieu, j’évite ! Salomon a dit : « Le Seigneur déteste les menteurs, il approuve ceux qui pratiquent la vérité ». Le mensonge blesse Dieu, les autres et moi-même. La Bible dit : « L’amour du mal détruit les gens déloyaux » (Pr 11.3, BFC). Le mensonge permanent a des conséquences pour trois raisons. 1) Dieu m’entend. Lorsque je décide de prier, le dernier sujet que j’aimerais aborder avec Dieu est le premier dont il voudra débattre avec moi ; en clair, mon mensonge ! 2) Je perds ma confiance devant Dieu. La Bible dit : « Si notre cœur ne nous condamne pas, nous avons de l’assurance devant Dieu. Quoi que ce soit que nous demandions, nous le recevons de lui, parce que nous gardons ses commandements et que nous faisons ce qui lui est agréable » (1Jn 3.21–22). 3) Je risque d’être vulnérable. Salomon a dit : « Une affirmation vraie reste toujours valable, mais les mensonges ne tiennent qu’un instant » (Pr 12.19, BFC). Quand les gens découvrent que j’ai menti, ils ne me respectent plus, n’ont plus confiance en moi, et la réputation qu’il m’a fallu des années pour bâtir subit un coup souvent irrémédiable. Paul écrit : « On vous a enseigné, en tant que chrétiens, la vérité qui est en Jésus. Vous devez donc, en renonçant à votre conduite passée, vous débarrasser de votre vieille nature que ses désirs trompeurs mènent à la ruine. […] C’est pourquoi, rejetez le mensonge ! Que chacun dise la vérité à son prochain, car nous sommes tous membres d’un même corps » (Ep 4.21–25, BFC).