Leslie est né avec de très lourds hand­i­caps. Les médecins avaient même dû le priv­er de ses yeux. À l’âge de 6 mois, il a été adop­té par May Lemke, une infir­mière, qui avait déjà cinq enfants. Elle a demandé à Dieu d’accorder à Leslie un tal­ent. Pour les 13 ans de Leslie, May a acheté un piano d’oc­ca­sion et joué quelques airs sim­ples, espérant le voir réa­gir. Aucune réac­tion, rien. Elle a per­sévéré, cher­chant con­stam­ment à encour­ager son fils adop­tif. Puis, à l’âge de 16 ans, il s’est mis lui-même au piano, et sans avoir jamais touché un clavier aupar­a­vant, a joué sans fausse note un con­cer­to de Tchaïkovs­ki. Leslie pou­vait repro­duire tout ce qu’il entendait. Un beau jour, il s’est mis à chanter, et a fini par don­ner des con­certs dans tout le pays. Tout cela parce qu’une mère l’a encour­agé sans relâche ! Dans le film Pur Sang, la légende de Seabis­cuit, quelqu’un demande au héros, Tom Smith, pourquoi il s’ob­s­tine à garder un cheval vieil­lis­sant et boi­teux. Il répond : « On ne jette pas toute une vie parce qu’elle est juste un peu amochée ! » Ce vieux canas­son a fini par men­er un cheval plus jeune vers une grande car­rière de cheval de cours­es. Mer­ci à Dieu pour ceux qui nous encour­a­gent et nous tran­scen­dent ! Paul dit : « Encour­agez-vous mutuelle­ment chaque jour ». Quelqu’un a dit : « Les rêves vien­nent tou­jours avec une taille de plus pour qu’on puisse grandir en eux ». Ceux qui nous encour­a­gent nous aident à rêver en grand, puis à grandir pour réalis­er notre rêve. Un sim­ple encour­age­ment peut avoir un extra­or­di­naire impact. Alors apprenez à encourager.