Si vous n’avez pas assez de temps pour tout faire, vous serez sans doute sen­si­ble à ce que dit David : « [L’homme] se fatigue beau­coup, mais tout part en fumée ». Mark Roberts écrit : « Ce ver­set résume par­faite­ment notre époque : tout part en fumée, notre épargne comme nos espoirs économiques. Nous nous sen­tons pareils à l’homme qui “se promène comme une ombre” (Ps 39.6), sans sub­stance ». Pour gér­er votre temps, Mary M. Byers dit : « Faites des listes : que voulez-vous accom­plir cette semaine ? Notez les tâch­es pro­fes­sion­nelles d’un côté, domes­tiques de l’autre. Ain­si vous aurez moins de mal à penser à tout. Con­sul­tez votre agen­da : si vous savez ce que vous devez faire, vous pour­rez vous fix­er des objec­tifs plus réal­istes. Votre semaine est-elle chargée, ou plutôt tran­quille ? Dans ce dernier cas, vous pour­rez vous per­me­t­tre plus de choses que les semaines où vous êtes sur la brèche. Étab­lis­sez des pri­or­ités : met­tez en avant les urgences, et tout le reste sur une liste d’at­tente Con­cen­trez-vous sur vos pri­or­ités et abor­dez autre chose si du temps se libère. Déléguez : un col­lègue peut-il vous aider ? C’est la même chose à la mai­son. Faites par­ticiper vos enfants. Vous aurez de l’aide, et ils se sen­tiront fiers et respon­s­ables. Tenez compte des sit­u­a­tions par­ti­c­ulières :si vous passez votre temps à pren­dre soin d’un être cher ou à devoir tout faire parce que votre con­joint est absent, lais­sez cer­taines choses de côté sans vous sen­tir coupable de ne pas les faire. Apprenez à lâch­er du lest :plus une chose fig­ure longtemps sur votre liste, moins elle est importante ».