"Toutes les nuits j'attends votre e-mail à 1h du matin pour écouter la méditation de Bob Gass et je la partage sur les réseaux sociaux. Ces méditations en fortifient beaucoup et je remercie Dieu !" Philippe Je fais un don
La troisième lettre, le R comme « rappeler » les victoires passées. Josaphat a prié ainsi : « N’est-ce pas toi qui as dépossédé les habitants de ce pays devant ton peuple, et qui l’as donné pour toujours à la descendance d’Abraham ? » (2Ch 20.7). Si Dieu a déjà accompli un miracle, il peut le faire encore ! Alors je lis sa Parole et je fortifie ma foi en me souvenant de ses hauts faits. La quatrième lettre, le E, comme « exalter », élever Dieu au-dessus de mes problèmes : « Dieu de nos pères, n’es-tu pas dans les cieux, n’est-ce pas toi qui domines sur tous les royaumes des nations ? N’y a‑t-il pas dans ta main la force, la puissance ? » (v.6). Malgré son angoisse, Josaphat a montré à quel point son Dieu est grand comparé à l’épreuve. Il est parfois difficile de regarder au-delà des difficultés lorsque l’on est en plein dedans. Si je ferme très fort les yeux, même le soleil ne peut plus m’atteindre ! La cinquième lettre, le S comme « solliciter » les prières et le soutien des autres : « Josaphat proclama un jeûne pour tout Juda, et l’on vint de toutes les villes pour chercher l’Éternel » (v.3–4). Josaphat n’a pas demandé aux gens leur avis mais leurs prières, car c’est ce qui touche le cœur de Dieu. La dernière lettre, c’est encore S comme « s’appuyer » sur les promesses de Dieu. Le Psalmiste dit ainsi : « Je suis atteint par la détresse et l’angoisse, mais ce qui me ravit, ce sont tes commandements » (Ps 119.143, BFC). Tel est le remède de Dieu contre le stress !