Retour interdit

Pen­dant une séance d’école du dimanche, un petit garçon entend l’histoire de la femme de Loth qui se retourne vers Sodome et se change en stat­ue de sel (voir Ge 19.26). Il s’exclame : « Ça c’est rien ! La semaine dernière, maman était au volant et descendait la rue, elle a regardé en arrière et s’est changée en cab­ine télé­phonique ! » Plus sérieuse­ment, Dieu dit de l’homme : « S’il se retire, mon âme ne prend pas plaisir en lui ». Tous les pilotes savent qu’il existe un point de non-retour. L’avion est au bout de la piste, c’est vol­er ou mourir ! En Hébreux 11, on trou­ve une liste de gens ordi­naires qui dans les pires moments ont refusé de revenir sur leurs pas. La Bible dit : « S’ils avaient eu la nos­tal­gie de celle qu’ils avaient quit­tée, ils auraient eu l’oc­ca­sion d’y retourn­er. Mais en réal­ité ils aspirent à une patrie meilleure, c’est-à-dire céleste. C’est pourquoi Dieu n’a pas honte d’être appelé leur Dieu ; car il leur a pré­paré une cité » (Hé 11.15–16). Au début de votre marche avec Dieu, Satan utilis­era toutes les astuces pour vous détourn­er du chemin. Au milieu de votre marche, il essaiera de vous dire que votre vie ne compte pas. Ne le croyez pas ; c’est un menteur ! Et si vous approchez de la fin de votre voy­age, il essaiera de vous décourager en met­tant en évi­dence vos défauts et vos échecs. Ne tombez pas dans le pan­neau ! Appuyez-vous plutôt sur ce ver­set : « Je sais en qui j’ai cru, et je suis per­suadé qu’il a la puis­sance de garder mon dépôt jusqu’à ce Jour-là » (2Ti 1.12).