"Toutes les nuits j'attends votre e-mail à 1h du matin pour écouter la méditation de Bob Gass et je la partage sur les réseaux sociaux. Ces méditations en fortifient beaucoup et je remercie Dieu !" Philippe Je fais un don
Est-on facilement blessé ? Blesse-t-on les autres sans le vouloir ? Il peut y avoir trois raisons à cela. 1) On exprime ses propres blessures. Hermann Hesse a écrit : « Quand on déteste une personne, on déteste quelque chose en elle qui est aussi en soi ; autrement, ça ne serait pas gênant. » 2) Quand on souffre, on est à fleur de peau. C’est comme laisser une écharde dans un doigt : celui-ci finit par s’infecter, et lorsque quelqu’un le frôle par mégarde, on hurle de douleur : « Tu m’as fait mal ! » Mais le fond du problème, c’est bien l’écharde qu’on refuse de traiter. Les gens en souffrance ont tendance à surréagir et même à se surprotéger. Ceux qui viennent en aide aux couples en crise l’affirment : l’un des conjoints fait des dégâts, l’autre les répare. C’est souvent le partenaire qui souffre le plus qui détruit le plus. 3) Guérir de ses blessures prend du temps. Il n’y a pas de solution miracle. La plus belle façon d’aider quelqu’un est de lui montrer qu’il compte à nos yeux. Et, s’il est d’accord, de l’aider à accepter son mal, à le traverser et à le dépasser. De belles choses peuvent ressortir de mauvaises situations. Des éboueurs avaient trouvé dans les égouts une soixantaine de bagues en diamant, des pièces de monnaie anciennes et même de l’argenterie ! Leur travail était loin d’être agréable, mais ces petits trésors le valaient bien ! Dans les difficultés on trouve souvent des beautés insoupçonnées. Finalement comme le dit le dicton : à quelque chose malheur est bon.
"Merci pour vos messages journaliers : ils réjouissent mon cœur et me font peu à peu grandir dans la foi. Ils me poussent à lire la Parole de Dieu malgré les difficultés de la vie." Jeannine Je fais un don