Si on fait le mal en pleine conscience, on est anxieux. On peut lire dans la Bible : « Il n’y a point de paix, dit l’Éternel, pour les méchants » (Esa 48.22). Chaque fois que l’on choisit d’agir à l’opposé de ce que l’on sait être juste, on n’a plus l’esprit tranquille. C’est comme une personne qui accepte une fonction qui l’oblige à agir à l’encontre de ses convictions spirituelles et qui viole sa conscience. De nombreuses femmes ont dû faire des compromis pour obtenir une promotion ou d’autres avantages. À l’époque, elles pensaient ne pas avoir d’autre option. Salomon a dit : « Telle voie paraît droite devant un homme, mais à la fin, c’est la voie de la mort » (Pr 16.25). C’est là qu’une base spirituelle solide est essentielle. Il faut de la foi et du courage pour laisser ses convictions guider son comportement et ses choix. La vérité est que Dieu est finalement responsable de toute promotion. Le Psalmiste a dit : « Ce n’est ni de l’orient, ni de l’occident, ni du désert que vient l’élévation. Car Dieu est celui qui juge : il abaisse l’un, et il élève l’autre » (Ps 75.7–8). Ne croyez pas pouvoir faire le bien par vos propres moyens. Parfois, la tentation de manipuler ou de mentir pour faire avancer votre carrière est trop forte. C’est alors qu’il faut puiser dans la force de Dieu. David a dit : « L’Éternel est ma lumière et mon salut : de qui aurais-je crainte ? » (Ps 27.1). Voici une prière : « Père, s’il te plaît, préserve-moi de la tentation et délivre-moi du Malin. Aide-moi à faire le bien. »