Clara Null racon­te : « On étu­di­ait les dix com­man­de­ments à l’école du dimanche. Arrivée à : “Tu ne com­met­tras pas d’adultère”, je me suis demandé si tout le monde com­pre­nait. Une fil­lette de 7 ans a levé la main pour deman­der : “ça veut dire quoi, com­met­tras ?” » Sérieuse­ment, si vous préférez suiv­re vos pul­sions, votre mariage en souf­frira. Vous sou­venez-vous de l’en­gage­ment pris lors de vos vœux devant l’autel ? « Acceptez-vous de pren­dre cette femme (ou cet homme) pour épouse (ou époux), de vivre ensem­ble dans la sain­teté du mariage, pour le meilleur et pour le pire, dans la san­té ou la mal­adie, et de lui rester fidèle ? » Voilà ce que vous avez dit devant Dieu ! Un grand hôtel avait mis un pan­neau qui dis­ait : « Votre prochaine aven­ture, vivez-la chez nous ! » Ça n’a rien d’amusant quand on songe aux con­séquences ! Un célèbre psy­chi­a­tre a dit : « J’ai con­seil­lé des mil­liers de cou­ples, mais j’at­tends encore mon pre­mier cou­ple adultère heureux ». Le résul­tat est tou­jours le même : honte, angoisse, sen­ti­ment d’échec, soli­tude et dépres­sion. Dif­fi­cile de se sen­tir bien quand on vio­le sa pro­pre intégrité. Ne vous lais­sez pas abuser par ces vedettes qui passent d’un lit à l’autre. Le secret du bon­heur con­ju­gal, c’est de trou­ver la bonne per­son­ne, et de devenir la bonne per­son­ne. La Bible dit que vous devez vous occu­per des besoins spir­ituels, émo­tion­nels, matériels et sex­uels de votre con­joint. Com­mencez à par­ler de ces choses. Et si vous trou­vez que c’est dif­fi­cile, cherchez de l’aide, votre mariage le mérite !