Tous ceux qui ont réussi quelque chose d’important ont dû déjouer les pronostics. Pour beaucoup, le problème n’est pas la chance, mais le fait de se sous-estimer. Quelqu’un a dit : « La plupart des gens pensent trop petit, visent trop bas et abandonnent trop tôt. » David avait peu de chance de vaincre Goliath. Sauf que David avait mis sa foi en Dieu dans la balance. Il dit à Goliath : « Je te frapperai et je te couperai la tête » (v.46). Clairement, David visait haut. C’est ce qu’il faut faire quand il s’agit de suivre l’appel de Dieu. Les probabilités importent peu. Pas grave si on tombe en cours de route. On le fait tous en apprenant à marcher, non ? Maxwell Maltz a dit : « Vous êtes un champion de l’art de vivre si vous n’atteignez que 65 % de vos objectifs. » Si les probabilités indiquent que vous ferez beaucoup d’erreurs sur le chemin de la réussite, qu’il en soit ainsi. Tant que vous finissez par réussir, n’est-ce pas là l’essentiel ? Rappelez-vous que si vous ratez le départ, rien n’est jamais perdu ! Tant que vous continuez à faire confiance à Dieu et à essayer, il vous viendra en aide. Jacques écrit : « Heureux est l’homme qui demeure ferme dans l’épreuve ; car après avoir prouvé sa fermeté, il recevra la couronne de victoire » (Ja 1.12, BFC). Paul a dit : « Ne nous lassons pas de faire le bien ; car nous moissonnerons au temps convenable, si nous ne nous relâchons pas » (Ga 6.9). Si vous croyez que Dieu veut votre réussite et que vous persévérez, vous passez de l’échec au succès.