Obser­vons un autre mir­a­cle dû au génie créa­teur de Dieu : le cycle de l’azote. L’azote est un gaz par­faite­ment inerte. S’il ne l’était pas, nous seri­ons tous empoi­son­nés par dif­férentes com­bi­naisons nitriques. Mais cette iner­tie nous empêche de com­bin­er naturelle­ment l’azote à d’autres élé­ments. Pour­tant, les plantes en ont claire­ment besoin dans la terre. Ain­si, pour l’extraire de l’atmosphère et l’introduire dans le sol, Dieu a prévu la foudre ! Une cen­taine de mil­liers d’éclairs frap­pent chaque jour la planète, et pro­duisent chaque année dans le sol quelque cent mil­lions de tonnes de nour­ri­t­ure azotée pour les végé­taux. À plus de 20 km d’altitude se trou­ve une fine couche d’ozone. Com­primée, elle n’aurait que 5 mm d’épaisseur, pour­tant sans elle la vie serait inten­able. Huit sortes de rayons mor­tels nous arrivent sans dis­con­tin­uer du soleil. Sans ozone nous seri­ons aveuglés et cuits à petit feu. Les ultra­vi­o­lets de type A sont fil­trés par la couche d’ozone, car ils sont néces­saires à la vie sur terre. Les ultra­vi­o­lets de type B et C sont pra­tique­ment blo­qués par cette couche, car ils sont mor­tels. Seule une infime par­tie de ces rayons peu­vent tra­vers­er, juste assez pour tuer les algues vertes qui sinon envahi­raient nos lacs, riv­ières et océans. Il n’y a aucun doute, nous sommes entière­ment dépen­dants de la bon­té de Dieu. C’est pourquoi le Psalmiste a dit : « Tous comptent sur toi pour avoir à manger au bon moment. Tu leur donnes la nour­ri­t­ure, ils la pren­nent, tu ouvres la main, ils man­gent à leur faim » (Ps 104.27–28, PDV). Notre Dieu est formidable !