Face à la Shoah, on est en droit de se demander : « Comment ont-ils pu faire ça ? » Les chambres à gaz, les fours crématoires, des trains qui arrivent chaque jour remplis de gens parqués comme du bétail destiné à l’abattoir. Et le pire, des soldats qui obéissaient sans sourciller. Comment ont-ils pu ? À cause du péché ! Et ne pensez pas qu’Hitler et ses acolytes en avaient le contrôle ! David a dit : « Je suis né dans la faute, et ma mère m’a conçu dans le péché » (Ps 51.7). Sa propre et sordide affaire d’adultère et de meurtre le confirme. Paul résume l’humanité ainsi : « Tous ont quitté le bon chemin, ensemble ils se sont égarés. […] Leur gorge est comme une tombe ouverte, leur langue leur sert à tromper, c’est du venin de serpent qui sort de leurs lèvres, leur bouche est pleine de malédictions amères. Ils courent à toutes jambes pour assassiner » (Ro 3.12–15, BFC). Dieu pourrait faire ce constat sur chacun de nous. Il est vital de le reconnaître pour apprécier ceci : « Dieu prouve son amour envers nous : lorsque nous étions encore pécheurs, Christ est mort pour nous » (Ro 5.8). En lisant ce verset, la question devient : « Comment a‑t-il pu faire ça ? » Dieu merci, on n’a pas eu la punition méritée. On a obtenu la grâce qu’il nous fallait ! William R. Newell a écrit cette hymne : « Oh, l’amour qui a dessiné le plan du salut ! Oh, la grâce qui l’a fait descendre jusqu’à l’homme ! Oh, le gouffre immense que Dieu a enjambé au Calvaire ! » En ce jour, prenez le temps de remercier Dieu pour la grâce qui nous a racheté.
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