Êtes-vous contrarié(e) lorsque vous ne pouvez pas contrôler les autres ? Êtes-vous de mauvaise humeur quand les gens ne font pas ce que vous voulez ? Réagissez-vous mal si on pointe vos erreurs ? Voulez-vous forcer les gens à se conformer à vos demandes ? Exagérez-vous une douleur, une maladie ou un besoin afin d’attirer l’attention ou la sympathie ? Critiquez-vous les opinions et les choix des autres avec un air supérieur ? Êtes-vous furieux lorsque quelqu’un n’est pas d’accord avec vous ou conteste votre autorité ? Êtes-vous réticent(e) à complimenter les autres, mais prompt à essayer de corriger leurs défauts ? Avez-vous du mal à dire : « J’ai besoin de toi » ? Creusez-vous un fossé entre vos proches et leur entourage ? Donnez-vous des ordres à vos collègues, au lieu d’être poli(e) et reconnaissant(e) ? Si votre réponse à ces questions est oui, alors voici votre parole du jour : cessez de vouloir tout contrôler ! La Bible dit : « Par amour fraternel, ayez de l’affection les uns pour les autres ; par honneur, usez de prévenances réciproques ». Il faut donc réfléchir à la façon dont votre comportement affecte les autres. Vous dites : « Mais j’ai une forte personnalité. » Désolé, ce n’est pas une excuse ! « Un serviteur du Seigneur […] doit être aimable envers tous » (2Ti 2.24, BFC). Alors si vous êtes du genre dominant, changez de cap ! Et si vous vous laissez dominer par peur du rejet, il est temps de placer des barrières. Lorsque le dominant se rendra compte que vous ne le permettrez plus, il cessera de le faire.