Pour y arriver, il y a deux choses à faire. 1) Apprendre l’autodérision. Peu importe la nature de vos échecs ou leur fréquence, ne perdez jamais votre sens de l’humour. Lorsque vous prenez vos erreurs trop au sérieux, vous finissez par vous noyer dans un verre d’eau. Le Psalmiste a écrit : « Quand le Seigneur rétablit Sion, nous pensions rêver. Nous ne cessions de rire et de lancer des cris de joie. Chez les autres nations on disait : “Le Seigneur a fait beaucoup pour eux.” Oui, le Seigneur a fait beaucoup pour nous, et nous étions tout heureux. Seigneur, rétablis notre situation, comme tu ranimes les ruisseaux asséchés. Celui qui pleure quand il sème criera de joie quand il moissonnera » (v.1–5). Certes une erreur n’est jamais drôle, mais on peut tout de même en rire ! Dieu peut vous rétablir tout comme il a rétabli Sion. Tim Masters affirme : « L’échec est la partie productive du succès. Il fournit la route que vous n’aurez plus à parcourir, la montagne que vous n’aurez plus à gravir et la vallée que vous n’aurez plus à traverser. » Si on commet des erreurs, elles ne ressemblent peut-être pas au « baiser de Jésus », l’expression de Mère Teresa pour désigner les échecs qui nous poussent vers Dieu. Mais si on garde la bonne attitude, ils peuvent nous amener à faire ce qu’il faut. 2) Apprendre de vos erreurs. Un chef cuisinier renommé a dit : « J’ai appris plus du restaurant qui n’a pas fonctionné que de tous ceux qui ont connu le succès. » N’est-ce pas toujours le cas ? On ne perd jamais, on apprend !