La sécurité de l’emploi (3)

Voici encore deux con­seils pour préserv­er son emploi. 1) S’affirmer à son poste. Il faut en plus établir des con­tacts en dehors de son entre­prise en par­tic­i­pant à des réu­nions regroupant d’autres struc­tures. L’objectif n’est pas seule­ment d’accroître ses con­nais­sances, mais d’afficher ses com­pé­tences, pour être remar­qué et aller de l’avant. Le moment venu, Dieu va ouvrir les portes, « car toi, Éter­nel, tu bénis le juste, comme un boucli­er, tu l’en­vi­ronnes de faveur » (v.13). 2) Garder une per­spec­tive divine sur son tra­vail. Notre emploi n’est pas la source de notre sécu­rité, mais l’un des nom­breux canaux que Dieu utilise pour sub­venir à nos besoins. Dieu a nour­ri le prophète Élie en util­isant un cor­beau, un ruis­seau, et une pau­vre veuve dému­nie ! Il s’est servi de qua­tre fleuves dif­férents pour arroser le jardin d’É­den. Ain­si, lorsque les besoins ne sont pas sat­is­faits et que l’argent vient à man­quer, il faut deman­der à Dieu de révéler d’autres sources de revenus. Il con­vient de s’appuyer sur ces deux promess­es : « Mon Dieu pour­voira à tous vos besoins selon sa richesse, avec gloire, en Christ-Jésus » (Ph 4.19), et : « Ce n’est pas un esprit de timid­ité [de crainte] que Dieu nous a don­né, mais un esprit de force, d’amour et de sagesse » (2Ti 1.7). La peur et la foi sont des forces qui veu­lent cha­cune con­trôler mon exis­tence. L’une con­duit dans la mau­vaise direc­tion, l’autre dans la bonne. Il est impor­tant de for­ti­fi­er ma foi en lisant la Parole de Dieu, en pri­ant, et en lui con­fi­ant toutes mes inquiétudes.