Job a surmonté la maladie, la faillite et le deuil tout en gardant sa foi intacte. Regardons son credo : 1) « Je sais ». En disant cela, vous êtes un point d’exclamation au milieu de points d’interrogation. Job n’a pas prononcé : « On m’a dit ». Ce qu’il savait de Dieu, il l’avait appris de l’expérience et d’une révélation. Est-ce possible ? Oui : « Vous avez une onction de la part de celui qui est saint, et tous, vous avez la connaissance » (1Jn 2.20). Vous pouvez connaître intimement des choses de Dieu sans tout à fait les comprendre ni pouvoir vraiment les expliquer. Pourquoi ? Parce que seul notre côté spirituel les discerne. 2) « Mon rédempteur est vivant ». Même si Jésus n’était pas encore né, Job avait entrevu notre rédempteur préexistant, que l’Écriture appelle « L’Ancien des jours » (Da 7.22), ou selon Michée, celui dont l’« origine remonte au temps jadis, aux jours d’autrefois » (Mi 5.1, NBS). Il existait avant sa naissance terrestre et a triomphé de la mort. Paul a dit : « Il était riche, mais pour vous, il s’est fait pauvre, afin de vous rendre riches par sa pauvreté » (2Co 8.9, PDV). 3) « Il se lèvera le dernier sur la terre ». Job a vu la même chose que Zacharie : « Ce jour-là, il se tiendra sur le mont des Oliviers » (Za 14.4, PDV). Jésus est d’abord venu pour sauver, et il reviendra pour régner. Venu une première fois pour être notre rédempteur, il reviendra comme Roi des rois. Gardez la foi, « […] En attendant la bienheureuse espérance et la manifestation de la gloire de notre grand Dieu et Sauveur, le Christ-Jésus » (Tit 2.13).