Gérer ses relations

Lorsqu’il s’ag­it de gér­er une rela­tion, on a tous des points forts et des points faibles, des atouts et des lacunes. Pour s’épanouir dans une rela­tion, il faut per­sévér­er et ne pas crain­dre l’échec, même si on a tout fait pour l’éviter. Les mau­vais choix et les occa­sions man­quées ne doivent pas engen­dr­er de la cul­pa­bil­ité, sinon on aura du mal à s’investir dans d’autres rela­tions. Un pas­teur a dit : « Pour éviter de me déval­oris­er, je m’accorde un taux d’échec de 10 % au cas où une rela­tion ne se déroulerait pas comme prévu ! » C’est un bon con­seil ! Quelles que soient les cir­con­stances ou les rela­tions qui échouent lam­en­ta­ble­ment, je vais sur­vivre ! Je vais me relever, en tir­er des leçons, me rap­procher de Dieu, et le remerci­er pour les béné­dic­tions que j’ai encore. Et elles sont nom­breuses ! Lorsque je pense à la longue liste de bien­faits qui sub­sis­tent dans ma vie, même au milieu des dif­fi­cultés, des pertes et des frus­tra­tions, j’ai une vue panoramique de ma sit­u­a­tion et je ne m’arrête pas seule­ment au prob­lème présent. La recon­nais­sance envers Dieu me per­met de con­sid­ér­er mes rela­tions et ma vie avec davan­tage de clarté. La grat­i­tude est un remède sûr con­tre l’au­to-api­toiement et le dés­espoir. Si je me mon­tre reconnaissant(e) envers les autres, mes rela­tions avec eux devi­en­nent limpi­des. Si je veux que ces rela­tions fonc­tion­nent, je dois m’engager à prier pour ces gens, les aimer de manière incon­di­tion­nelle, et à inve­stir en eux. Pour le reste, je fais con­fi­ance à Dieu !