Parole du Jour 
Savoir atten­dre
Loading
/

"Je remercie l’équipe de Parole du Jour. La nourriture que je reçois à travers la brochure m'a permis de me relever." Bernadette Je fais un don

La réus­site n’est pas instan­ta­née, que ce soit dans les rap­ports humains ou les prob­lèmes matériels. Même avec vingt kilos en trop, on ne peut en per­dre qu’un à la fois. On se réjouit d’être arrivé au som­met d’une mon­tagne, mais pour la gravir, il a fal­lu faire un pas à la fois. Rien de grand ne se créé d’un claque­ment de doigts ; les suc­cès sig­ni­fi­cat­ifs survi­en­nent après une longue et pénible attente. À moins d’accepter cette vérité, on aban­donne trop tôt et on se repose bien avant l’échéance prévue par Dieu. La fameuse con­fis­erie Jell‑O a fêté ses cent ans en 1997. Si son inven­teur était encore en vie, il ferait sans doute grise mine. En 1897, Pearl Wait a plusieurs cas­quettes. Il est menuisi­er de son état et fab­rique égale­ment des sirops pour la toux qu’’il vend en faisant du porte-à-porte. Lors de ses expéri­ences, il a l’idée de mélanger de l’arôme de fruits avec de la géla­tine en poudre, dessert que sa femme bap­tise Jell‑O. Wait pos­séde un nou­veau pro­duit dans son cat­a­logue ! Hélas, les ventes ne sont pas aus­si bonnes que prévu. alors il se résout à ven­dre son brevet à Ora­tor Wood­ward pour la somme dérisoire de 450 dol­lars. Wood­ward est un homme d’af­faires avisé qui con­naît l’importance du mar­ket­ing. En huit ans, il trans­forme son investisse­ment en une entre­prise valant un mil­lion de dol­lars. Aujour­d’hui, aucun descen­dant de Pearl Wait ne touche le moin­dre cen­time sur le grand nom­bre de boîtes de Jell‑O ven­dues chaque jour. Pourquoi ? Parce que Wait n’a pas su attendre !

"Je suis très reconnaissante pour la radio PHARE FM et le fascicule Parole du Jour. Je vous écoute tous les jours. Combien de fois Dieu m’a parlé au travers des écrits et de messages à la radio. Merci !" Christelle Je fais un don