Deux choses permettent de mesurer votre croissance personnelle : 1) Vos relations. La Bible dit : « Deux hommes marchent-ils ensemble, sans en avoir convenu ? » (Am 3.3). Vos fréquentations vous élèvent, vous font stagner ou vous rabaissent. Une femme a fait publier cette lettre : « Lors de ma dernière année scolaire, mon professeur d’anglais avait déchiré ma dissertation devant toute la classe. J’étais humiliée, je me sentais stupide. Ça s’est passé il y a des années, mais je ne l’ai jamais oublié. » En quelques secondes, la confiance qu’elle avait en elle a été balayée par la mauvaise personne pour le restant de sa vie. 2) Votre réflexion. Un moniteur d’école du dimanche demande à une fillette : « Qui t’a créée ? » Elle répond : « Dieu m’a créée en partie. » Le moniteur s’étonne : « Que veux-tu dire par là ? » La fillette reprend : « Dieu m’a faite petite et après j’ai grandi toute seule. » Dieu nous rend responsable de notre croissance. Le Psalmiste a écrit : « Je suis plus avisé que tous mes maîtres, car tes préceptes font ma méditation » (Ps 119.99). « Méditation » signifie « pensée réfléchie ». Elle permet à nos pensées de mijoter jusqu’à point. La plupart d’entre nous préférons agir plutôt que réfléchir. Socrate a dit : « Une vie sans examen ne vaut pas la peine d’être vécue. » Réfléchir est désagréable. On a du mal à rester concentré. On déteste s’attarder sur ce qui dérange. Mais si vous oubliez de méditer, vous n’allez pas mûrir. Vous n’aurez jamais la grâce et la sagesse dont vous avez besoin pour réussir. C’est aussi simple que ça.