Parole du Jour 
Ce qu’un chef doit éviter
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"Parole du Jour me réconforte, me vivifie, m'interpelle, me remet en question. En bref, cela me fait un bien fou et ma journée se passe dans le calme, la paix et la joie." Daisy Je fais un don

Pour un leader, voici trois choses à éviter. 1) Avoir peur de l’innovation (voir Esa 43.19). Quelqu’un à qui l’on con­fie une nou­velle tâche com­met­tra sûre­ment des erreurs, mais fini­ra par appren­dre. La rou­tine est étouf­fante. Un chef se doit donc de ris­quer les échecs de son per­son­nel même s’il trem­ble en le lais­sant s’aven­tur­er dans l’in­con­nu. Comme un par­ent qui prie plus fort lorsque son adolescent(e) prend pour la pre­mière fois le volant de la voiture famil­iale, vous devez accepter que les défis qui vous effraient sont en réal­ité libéra­teurs pour les autres. 2) Avoir des préférences par­mi ses ouvri­ers. C’est bien de tra­vailler en étroite col­lab­o­ra­tion avec des per­son­nes clés, mais il con­vient aus­si de rester « unis les uns aux autres » (Ro 12.5, BFC). Il faut s’assurer que tout le monde se sente à l’aise dans l’équipe. 3) Avoir une ges­tion « petit bras ». Il y a une dif­férence entre gér­er et diriger. La ges­tion des per­son­nes néces­site un souci du détail, tan­dis que les diriger implique de partager une vision, définir des objec­tifs et créer une moti­va­tion. Faites bien la part des choses. Si vous gérez au lieu de diriger, le moral chute, car les gens ont besoin d’ob­jec­tifs clairs et la lib­erté de déter­min­er com­ment les attein­dre. La ges­tion « petit bras » dimin­ue l’esprit d’équipe dont vos gens ont besoin pour résoudre les prob­lèmes. Le prési­dent Eisen­how­er a dit un jour : « Tirez sur une corde et elle vous suiv­ra partout. Poussez-la, et elle n’i­ra nulle part. »

"Merci pour la médiation Parole du Jour. Même après 54 ans de conversion, j'en ai besoin et j'en fais profiter à une vingtaine de personnes autour de moi." Rosemée Je fais un don