Imaginez devoir offrir votre enfant sur un autel en sacrifice à Dieu. Et Dieu ne vous dit pas pourquoi ! Voici ce qu’Abraham a dit aux deux jeunes qui l’ont accompagné dans le voyage le plus difficile de sa vie : « Vous, restez ici avec l’âne ; le jeune homme et moi nous irons là-haut pour adorer, puis nous reviendrons auprès de vous ». L’engagement d’Abraham envers Dieu était inébranlable : « Je vais continuer à adorer et je reviendrai plus fort ! » L’inquiétude et l’adoration sont totalement opposées. On est bien plus heureux si on est adorateur plutôt que peureux. L’inquiétude permet à l’Ennemi de me tourmenter, alors que l’adoration me guide dans la présence de Dieu où se trouvent la paix, la joie et l’espoir. J’ai été créé(e) pour adorer Dieu (voir Ap 4.11). Lorsque rien d’autre ne fonctionne, l’adoration le fait parce qu’elle place toute mon attention sur lui. Dieu est bon en dépit des circonstances. J’oublie la peur, je confie mes soucis à Dieu et je vis dans sa grâce. La grâce n’est pas seulement une faveur mais une puissance divine ! Je ne gaspille pas un jour de plus à m’inquiéter. Je me tiens à mon rôle. Je n’essaie pas d’assumer la responsabilité de Dieu. Je fais ce que je peux, et Dieu intervient pour faire ce qui m’est impossible. Malgré mes soucis, j’adore Dieu et je profite de la vie abondante qu’il m’offre. Dès que je me rends compte que je m’inquiète, je change mon mode de pensée et je dis : « Je suis serein. Je vais t’adorer, Seigneur. Tu es bon et je te fais entièrement confiance. »
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