Parole du Jour

La peur de vieillir ! (1)

Dans cette société de l’instantané quelques rides suff­isent à saper le moral. Ne soyons pas esclaves de ce sys­tème de valeurs ! La Bible dit : « Les jours de mon peu­ple seront comme les jours des arbres, et mes élus jouiront de l’œu­vre de leurs mains » (v.22). Mark Twain a dit : « L’âge est une ques­tion d’e­sprit sur la matière. Si on ne s’en préoc­cupe pas, il n’a plus d’im­por­tance ! » Il y a donc trois choses à faire. 1) Con­stru­ire une rela­tion solide avec Dieu. Il faut pass­er du temps avec lui, lire sa Parole, lui par­ler, car il est écrit : « Que ton cœur garde mes com­man­de­ments ; ils aug­menteront la durée de tes jours, les années de ta vie et ta paix » (Pr 3.1–2). 2) Accepter la réal­ité du vieil­lisse­ment. Il faut regarder les choses en face : on com­mence à vieil­lir dès la con­cep­tion. À la nais­sance, on a déjà neuf mois ! Par con­séquent, s’inquiéter de son âge est aus­si vain que s’inquiéter du couch­er du soleil ! Au lieu de regarder à la durée de la vie, prof­i­tons-en chaque jour. Tous les matins, face à son miroir, il faut se dire : « C’est ici la journée que l’Éter­nel a faite : soyons dans l’al­lé­gresse et la joie ! » (voir Ps 118.24). 3) Tou­jours avoir un objec­tif. Il n’a pas besoin d’être spec­tac­u­laire, mais sim­ple­ment faire quelque chose que l’on aime avec ses mains ou son cerveau. Eleanor Roo­sevelt a dit un jour : « À aucun âge je ne pour­rais me con­tenter de m’assoir au coin du feu et sim­ple­ment le regarder ! » Alors, il vaut mieux pren­dre un livre, rester impliqué et vivre jusqu’à son dernier souffle !

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