Gérer les personnes difficiles

Il n’est pas tou­jours pos­si­ble de vivre en har­monie avec tout le monde. Con­scient de cette réal­ité, Paul dit en sub­stance : « Faites tout votre pos­si­ble pour y par­venir. » En dehors de votre rela­tion avec votre con­joint et vos enfants, si vous êtes sage, vous exam­inerez dans la prière vos autres rela­tions pour savoir com­bi­en de temps y con­sacr­er. Par exem­ple, si vous avez un proche qui cherche tou­jours le con­flit ou qui est négatif, n’interagissez pas régulière­ment avec lui. Par­tir en week­end ensem­ble est suff­isant ! Il en va de même avec les amis. S’ils sont cri­tiques, con­damnent les autres, sont en com­péti­tion avec vous ou font des remar­ques désoblig­eantes, lim­itez les ren­con­tres, à moins que Dieu ne vous incite à pass­er du temps avec eux pour leur partager sa Parole. Rien ne vous oblige à fréquenter assidû­ment des per­son­nes qui trou­blent votre sérénité. Salomon a dit : « Ne fréquente pas quelqu’un de coléreux » (Pr 22.24). Paul met en garde : « Méfiez-vous des gens qui divisent la com­mu­nauté. […] N’allez plus avec eux » (Ro 16.17, PDV). Lorsque vous êtes en com­pag­nie d’une per­son­ne dif­fi­cile, deman­dez-vous : « Est-ce que ma patience va aug­menter si je la sup­porte ? Pourquoi ses actes me per­turbent-ils ? Est-ce parce qu’ils reflè­tent mon pro­pre com­porte­ment ? Pourquoi est-ce que je con­tin­ue à inter­a­gir avec elle ? » Priez : « Père, j’ai besoin que tu m’aides à dis­cern­er quand et com­ment être avec des per­son­nes dif­fi­ciles, afin que ton amour brille con­tin­uelle­ment à tra­vers moi. »