Paul écrit : « Ai-je donc usé de légèreté ? Ou bien, mes résolutions sont-elles des résolutions selon la chair, de sorte qu’il y ait en moi le oui et le non ? Aussi vrai que Dieu est fidèle, la parole que nous vous avons adressée n’a pas été oui et non » (v.17–18). Paul a appris à fixer des limites à ses relations, et vous devez faire de même. Un sage a dit : « Ne vous plaignez jamais de ce que vous permettez. » Si vous n’élevez pas de barrière, vous n’avez pas le droit de vous plaindre des personnes qui profitent de vous et vous font perdre votre temps. Jésus a toujours été très clair à ce sujet. Être son disciple signifie apprendre quand il convient de dire oui et quand il convient de dire non. Lorsque les gens vous pressent, confrontez-les rapidement, en privé. S’ils ne vous écoutent pas, emmenez quelqu’un avec vous. Et s’ils ne vous écoutent pas tous les deux, sollicitez les responsables de l’église (voir Mt 18.15–17). Soyez clair sur ce que vous tolérez et ne tolérez pas. Un chant country affirme : « Défendez une cause ou vous tomberez pour un rien. » Exprimez tranquillement vos souhaits et vos préférences sans craindre le rejet et l’aliénation. Priez ceci : « Seigneur, laisse-moi servir les autres avec un cœur pur non guidé par un besoin d’amour et d’acceptation. Sur l’autorité de ta Parole, j’ordonne à l’esprit de peur qui m’a empêché(e) de fixer des limites saines me quitter maintenant. Je place ma confiance en toi. Je ne crains pas la réaction des gens (Voir Ps 56.11). Au nom de Jésus. Amen. »