Lorsque Dieu lui pardonne son adultère et son meurtre, David écrit : « Heureux celui dont la transgression est enlevée, Dont le péché est pardonné ! Heureux l’homme à qui l’Éternel ne tient plus compte de sa faute, Et dans l’esprit duquel il n’y a point de fraude ! Tant que je me suis tu, mes os se consumaient, Je gémissais toute la journée ; car nuit et jour ta main pesait sur moi, Ma vigueur n’était plus que sécheresse, comme celle de l’été. Je t’ai fait connaître mon péché, je n’ai pas couvert ma faute ; j’ai dit : Je confesserai mes transgressions à l’Éternel ! Et toi, tu as enlevé la faute de mon péché » (v.1–5). Un péché non confessé et non pardonné vous rendra la vie pénible. Mais après l’avoir reconnu et reçu le pardon de Dieu, vous ne devriez plus vous sentir malheureux. Alors pourquoi l’êtes-vous encore ? C’est l’éducation. On a si souvent entendu : « J’espère que tu te sens mal après ce que tu as fait ! » Ou : « Tu devrais avoir honte ! » Et si jamais on avait commis le pire, comme abîmer la voiture de papa, la sanction pouvait être sévère ! En d’autres termes, on est programmé pour une culpabilité à long terme. Bonne nouvelle : le pardon de Dieu ne fonctionne pas ainsi. Avec la conviction et la confession du péché vient la purification et la restauration de la confiance devant Dieu. Ne laissez plus Satan vous condamner. Ne traînez plus votre culpabilité et votre honte. Aujourd’hui, dites avec le Psalmiste : « Tu as enlevé la faute de mon péché ». Puis vivez libre, en confiance et dans la joie !