Parole du Jour
Parole du Jour 
Garder espoir
Loading
/

David a dit : « Attends-toi à l’Éter­nel, dès main­tenant et à tou­jours ! » Si on décide que la sit­u­a­tion est dés­espérée, on claque la porte au nez de Dieu. Pour la plu­part des gens, une assez bonne san­té et des revenus décents leur suf­fit pour ne plus espér­er. 1) Quel est mon désir le plus fort ? Si je regarde en arrière, suis-je satisfait(e) ? Si non, je me mets au défi de trou­ver une réponse. L’e­spoir doit être per­son­nel, pas celui que je pense m’être dû. Il doit être suff­isam­ment fort pour gou­vern­er tous mes actes. 2) Je lui trou­ve un sym­bole, un objet sur lequel je peux cen­tr­er mes pen­sées. Jérémie a don­né au peu­ple de Dieu une leçon d’espérance en achetant une terre à Anathoth (voir Jér 32.9). Il savait qu’ils seraient cap­tifs et que pen­dant ces longues années, le sou­venir de ce champ agi­rait comme un sym­bole de restau­ra­tion future. Pen­dant la guerre, Leo Algi­mas et sa famille, par­qués dans des camps, con­ser­vaient un sym­bole d’e­spoir, un petit morceau de papi­er provenant d’une boîte de choco­lats améri­cains. Ils le pas­saient de main en main, le regar­daient et par­laient à voix basse de l’ar­mée de libéra­tion qui allait venir. Un sym­bole per­met de penser à ce qui est pos­si­ble. Et le plus grand sym­bole jamais con­nu était le plus incroy­able : un enfant dans une crèche qui annonce l’avènement du roy­aume de Dieu sur terre. Voilà qui peut chang­er votre des­tin. Définis­sez ce que vous espérez, deman­dez-le en son nom, et peu importe à quel point la chose sem­ble impos­si­ble, atten­dez-vous à ce qu’elle se réalise.