Deux mots suffisent à résumer la plupart de nos inquiétudes : « Et si ? » Et si mon bilan médical était mauvais, et si le marché s’effondrait, et si mon petit copain me laissait tomber, et si je perdais mon emploi ? C’est une liste sans fin. Jean a dit : « La crainte implique un châtiment » (1Jn 4.18). Quand vous vous focalisez sur vos soucis plutôt que sur la fidélité de Dieu, vous autorisez Satan à vous tourmenter. Mais ce n’est pas une fatalité ! Jésus a dit : « Que votre cœur ne se trouble pas » (Jn 14.27). Paul exhorte : « Ne donnez pas accès au diable » (Ep 4.27). Et Salomon écrit : « Tous les jours du malheureux sont mauvais, mais le cœur content est un festin perpétuel » (Pr 15.15). Si vous avez peur de l’avenir, rappelez-vous la fidélité de Dieu à votre égard par le passé : « Celui qui vous a appelés est fidèle, et c’est lui qui le fera » (1Th 5.24). Si les soucis vous minent, appuyez-vous sur ces promesses de la Bible : « Béni soit l’Éternel, qui a donné du repos à son peuple […]. De toutes les paroles favorables qu’il avait dites […] aucune parole n’est restée sans effet » (1R 8.56). Vous dites : « Mais j’ai déçu Dieu. Est-ce que je peux vraiment espérer son secours ? » Oui, car même « si nous sommes infidèles, lui demeure fidèle » (2Ti 2.13). Avant que Dieu vous ait racheté(e) et fait de vous son enfant, il connaissait vos défauts, vos imperfections et vos échecs. Mais sa parole dit qu’il « est fidèle, il vous affermira et vous gardera ». Voici votre parole du jour : pas d’inquiétude, Dieu est fidèle.