Mariage, travail, logement : avec le recul, diriez-vous que vous avez toujours fait les bons choix ? Quelqu’un a écrit : « On décide selon ce qui nous paraît le mieux, le plus facile, le plus rapide. On fait des choix qui réjouissent les enfants, qui apaisent le patron, qui cachent les problèmes pour un temps. On dépense selon ses envies au lieu d’épargner pour le nécessaire. On se marie sur un coup de tête sans vérifier si on se lie à la bonne personne. On cherche trop vite un emploi au lieu de prendre le temps de se former. On préfère les chips aux légumes. On n’imagine pas l’échec, mais il arrivera sûrement si on ne fait pas les bons choix. Il faut éviter des solutions à court terme. La sagesse exige de planifier, de persévérer, de travailler dur et de consentir à des sacrifices. Au bout, la récompense sera grande. » Jacques écrit : « Si quelqu’un manque de sagesse, qu’il la demande à Dieu et elle lui sera donnée » (Ja 1.5). Le monde dépense des milliards à la poursuite de la sagesse, mais les enfants de Dieu ont accès à celle du Créateur de l’univers. En développant patience et maturité, on prend la décision la plus sage et non la plus simple, et on ne vit plus jamais dans la peur du résultat. John Mason a dit que grandir en sagesse signifie craindre Dieu, mais aussi chercher à lui plaire, l’entendre, le regarder, le suivre, le prier, lui obéir, et connaître personnellement son Fils (voir Ps 111.10 ; Ec 2.26 ; Pr 2.6 ; 3.13 ; 8.10–11 ; 11.2 ; 13.10 ; 29.15 ; Ep 1.16–17 ; 1Co 1.30). Où en êtes-vous à ce sujet ?