Privé(e) de réjouissances ?

Pour bien fonc­tion­ner, les poumons ont besoin d’oxygène, le corps de nour­ri­t­ure, et l’âme de réjouis­sances. Com­ment détecter que quelqu’un en est privé ? En obser­vant son allure et en écoutant ses pro­pos. Un spé­cial­iste de la Bible a dit : « Quand j’ai fini par com­pren­dre Jean 10.10, j’ai réal­isé que l’en­ne­mi m’avait trompé en me faisant croire que prof­iter des choses n’é­tait pas impor­tant. Je croy­ais à tort que si je m’a­mu­sais, quelque chose n’al­lait pas. Je ne devais pas tra­vailler assez dur ! Je n’ai jamais vu mon père prof­iter de la vie. Voir les autres se réjouir le met­tait dans une colère noire. Alors j’ai gran­di avec ce trau­ma­tisme. J’étais rabroué quand j’éclatais de rire. Madame Guy­on, autrice du 17ème siè­cle, a dit que l’ap­pel le plus élevé pour chaque chré­tien est de jouir de Dieu. Je me sou­viens du gros poids qui m’a été enlevé la pre­mière fois que j’ai lu ça. Je tra­vail­lais si dur pour plaire à Dieu que la pen­sée de sim­ple­ment l’ap­préci­er ne m’é­tait pas venue. C’était inouï ! J’avais été un mem­bre engagé de l’église pen­dant plus de vingt ans avant d’ap­pren­dre que Dieu voulait que je jouisse de lui et de la vie qu’il m’avait don­née. » Êtes-vous concerné(e) ? Dans ce cas, il est temps de faire quelques change­ments dans votre vie. Faites une pause sans cul­pa­bilis­er. Vous serez beau­coup plus pro­duc­tif lorsque vous serez reposé(e) et rafraîchi(e). Rire n’est pas man­quer de spir­i­tu­al­ité. Il faut un équili­bre. La société est impi­toy­able et stres­sante, mais on peut s’en évad­er et se réjouir si on le souhaite.