Paul écrit : « Ne soyez inquiets de rien, mais demandez toujours à Dieu ce qu’il vous faut. Et quand vous priez, faites vos demandes avec un cœur reconnaissant. Ainsi la paix de Dieu, qui dépasse tout ce que nous pouvons comprendre, gardera vos cœurs et vos pensées unis au Christ Jésus » (v.6–7). L’inquiétude, c’est comme un fauteuil à bascule. Lorsqu’on y est assis, son mouvement permanent occupe les pensées, mais il ne mène jamais nulle part. En fait, y rester trop longtemps finit par épuiser ! Un médecin affirme qu’une personne génère environ trente mille pensées par jour, souvent incontrôlées, ce qui crée des conditions favorables à la maladie ! Oui, les pensées rendent malade ! Un autre expert estime que 87 % des maladies sont liées à de mauvais schémas de pensée. La cause de l’inquiétude est simple : c’est le fait de ne pas faire confiance à Dieu pour s’occuper des différentes situations de l’existence. On passe sa vie à essayer de prendre soin de sa petite personne. Il faut donc beaucoup de temps pour changer et apprendre à faire confiance à Dieu. Et la seule façon d’y arriver, c’est de le mettre en pratique. Si on confie ses problèmes à Dieu, on fait l’expérience de sa fidélité. Voilà qui rassure pour aborder les inéluctables futurs ennuis. Ainsi, dès que l’anxiété paraît, il suffit de dire : « Je fais entièrement confiance à Dieu. Nul besoin de m’inquiéter ! » Plus on réfléchit à cette vérité, plus on se retrouve à choisir la confiance plutôt que l’inquiétude.
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