Oswald Chambers écrit : « La conscience est cette capacité que j’ai de m’attacher à la norme la plus élevée que je connaisse, et me rappeler continuellement ce que cette norme exige. Si je prends Dieu comme modèle, la conscience me dirige toujours à sa loi parfaite et m’indique ce que je dois faire. La question est : vais-je obéir ? Dieu nous instruit toujours jusque dans les moindres détails. Sa voix n’est pas tonitruante, elle est si douce qu’il est facile pour nous de l’ignorer. Et la seule chose qui garde notre conscience sensible à lui est l’habitude d’être ouvert à Dieu. Lorsque vous commencez à marchander, arrêtez sur le champ. Ne justifiez pas vos envies douteuses. Vous êtes sur la mauvaise voie. Il n’y a plus de débat possible une fois que votre conscience parle. Quoi qu’il en soit, laissez tomber et veillez à garder clair votre for intérieur. » Paul écrit : « Notre sujet de gloire, c’est le témoignage de notre conscience, que nous nous sommes conduits dans le monde, et surtout à votre égard, avec une sainteté et une sincérité qui viennent de Dieu, non pas avec une sagesse charnelle, mais avec la grâce de Dieu ». Et si la Bible ne donne pas de réponse précise à la question qui vous préoccupe, que faire ? Voici une règle d’or : « Si notre cœur ne nous condamne pas, nous avons de l’assurance devant Dieu. Quoi que ce soit que nous demandions, nous le recevons de lui » (1Jn 3.21–22). Il n’y a pas de meilleure raison de garder une conscience claire.